Pourquoi je me sens toujours “pas assez”? Comprendre les racines de la faible estime de soi et du manque de confiance.

CATÉGORIE: CONFIANCE & ESTIME DE SOI | AUTHENTICITÉ & IDENTITÉ

par Anna Maffucci
lecture: 10 min

Cette sensation agaçante et irritante de “ne pas être assez”. Existe-t-il des causes universelles au manque de confiance, ou chaque situation est-elle unique — un mélange de traits personnels, de schémas mentaux, d’événements et de circonstances?  Si vous souhaitez construire une estime de soi solide qui apporte la sérénité, commençons par comprendre comment fonctionne réellement la confiance et ce qui l’érode jour après jour.

Aujourd’hui, vous vous sentez “pas assez”.

C’était la semaine dernière, et vous savez que cela reviendra un jour ou l’autre. Le moment où la pensée — “Tout ce que je fais tourne mal” et “Non-non-non, ce ne sera jamais suffisant, peu importe ce que je fais” — vous hante encore et encore.

Existe-t-il une cause universelle derrière le manque de confiance, ou chaque cas est-il toujours unique — façonné par un mélange de traits personnels, schémas mentaux, événements, expériences et circonstances? Pouvons-nous comprendre les véritables mécanismes d’une estime de soi solide qui apporte la paix intérieure?

La confiance est une substance fragile. Il n’existe pas de “confiance éternelle”.

? Et pourtant, certaines personnes sont plus vulnérables aux graines du doute, de l’insatisfaction personnelle et des pièges des comparaisons sociales. Faites-vous partie de celles-ci?

Vous arrive-t-il parfois de vous sentir si courageux et enthousiaste la nuit, en pensant: “Oui, je peux le faire, c’est une super idée !”, pour que le matin apporte les premiers doutes et la preuve que “mieux vaut réfléchir avant”?

Et voilà, vous avez déjà repoussé l’action, repris le rythme quotidien, et finalement retombé dans votre mentalité habituelle du “J’ai besoin de plus <temps, expérience, argent, beauté…>”.

Prenons maintenant neuf minutes pour explorer les causes de ce sentiment de “pas assez”.

  • Qu’est-ce qui déclenche les hauts et les bas émotionnels, et comment poser des bases solides pour la confiance?
  • Qu’est-ce qui influence les pensées négatives sur soi, et comment développer une perception juste et cohérente de ses forces, limites et impact sur les autres?
  • Et surtout, comment retrouver un peu de foi en vous et en les autres?

1. Que signifie vraiment “je ne suis pas assez”?

La confiance est un sentiment. Mais pas dans le sens que vous imaginez.

Qu’est-ce qui vous vient à l’esprit quand vous pensez aux personnes confiantes? Elles sont calmes.

Elles savent comprendre et gérer leurs émotions — la façon dont elles réagissent dans l’instant. Même dans des situations incertaines ou stressantes, elles ne se laissent pas emporter par une tempête émotionnelle ; elles maintiennent un équilibre fragile, gardent leur sang-froid et font preuve d’empathie.

Vous avez sans doute remarqué que le “pas assez” n’apparaît pas comme une pensée claire, mais se cache dans vos ressentis — vos réactions émotionnelles, parfois irrationnelles et résistantes à la logique.

Et comment ce sentiment “je ne suis pas assez” se manifeste-t-il au quotidien?

▶︎ “Mes émotions me contrôlent” — vous vous sentez dépassé par vos émotions plutôt que capable de les comprendre ou de les nommer.

Vous remarquez des chutes soudaines d’humeur après de petits déclencheurs — “Ils n’ont pas répondu… peut-être que j’ai dit quelque chose de mal.” Votre journée est ponctuée de hauts et de bas émotionnels: un compliment vous transporte, une critique vous écrase.

Vous réagissez trop vite et vous laissez emporter par vos émotions. Parce que vous avez peur — peur d’être jugé, rejeté, de ne pas avoir le contrôle. Nous parlerons un peu plus tard de cette peur.

▶︎ “Je me sens calme, mais seulement jusqu’à…” — dès que la situation devient incertaine, vous perdez pied.

Vous pouvez vous sentir à l’aise dans des situations prévisibles, mais dès que l’incertitude apparaît, votre calme s’échappe.

Les interactions simples vous épuisent facilement — “Que dois-je dire? Suis-je prêt?” Vous pensez toujours et toujours à ce qui a été dit, d’abord en vous critiquant, puis en cherchant à vous rassurer.

Vous devenez tendu ou anxieux face à toute situation nouvelle, incertaine ou stressante. Car au fond, vous vous sentez fragile.

▶︎ “Ça me coûte tellement d’énergie” — vous faites des efforts pour contrôler vos émotions au détriment de votre authenticité et spontanéité.

Toute votre énergie est consacrée à gérer votre apparence: polir vos réactions, filtrer vos paroles. Vous êtes toujours là — gentil, serviable, attentif… mais épuisé et vidé à l’intérieur d’avoir toujours “le contrôle”.

Vous vous sentez triste et seul, car au fond, vous êtes fatigué et perdu — tous vos efforts pour paraître “assez” vous ont éloigné de qui vous êtes vraiment.

2. Les origines du manque de confiance

Pour comprendre pourquoi vous vous sentez “pas assez”, la plupart des psychologues examinent les histoires d’enfance et les récits, l’influence des comparaisons sociales sur la perception de soi, et, sans exception, votre relation avec le perfectionnisme et le contrôle.

! Alors que les racines du doute de soi se trouvent rarement à l’âge adulte, nous allons cette fois l’aborder différemment.

Le socle émotionnel de la confiance

Très souvent, nous nous focalisons sur une situation, une personne ou une circonstance, en pensant à tort que c’est la cause de notre malaise, de notre manque de confiance ou d’anxiété.

La vraie question est: pourquoi ma réaction est-elle si intense émotionnellement à ce moment précis? À quoi réagis-je vraiment?

Tout ce qui se passe à l’extérieur ne devient significatif que lorsqu’il se connecte à quelque chose de crucial en vous, qui crée la tension.

Dans notre enfance, nous apprenons beaucoup de compétences utiles. Mais tous les parents ne prêtent pas autant d’attention à enseigner comment reconnaître et gérer les émotions dans l’instant.

Souvent, on entend des phrases comme: “Tu dois contrôler tes émotions”, “Ne crie pas, sois calme”, ou “Arrête de pleurer comme un bébé”.

Ces règles, ces “fais / ne fais pas”, entérrent vos émotions au plus profond de vous, jour après jour, au lieu de vous aider à comprendre ce que vous ressentez, pourquoi, et comment canaliser cette tension de manière créative et productive.

Les histoires d’enfance comptent, mais ce qui compte davantage, c’est la façon dont on nous a appris à reconnaître et gérer nos émotions dans ces situations. C’est le socle émotionnel de la confiance.

Il n’y a pas de meilleur point de départ pour développer la confiance que d’apprendre la régulation émotionnelle.

Perception de soi cohérente et juste

Se comparer est naturel. Nous le faisons tout le temps.

Le problème survient quand cela devient la principale façon de mesurer sa valeur. Les réseaux sociaux n’aident pas: ils créent un océan d’opportunités de se sentir “moins” — la promotion d’un autre, la maison parfaite d’un autre, le succès d’un enfant…

Mais si nous commencions plutôt par de petits pas d’auto-observation — observer nos pensées, comportements et déclencheurs sans jugement?

? Voulez-vous bénéficier d’une perception juste et cohérente de vos forces, limites et impacts sur les autres?

Accepter ses limites et imperfections demande un certain courage. Car en cherchant la perfection, vous risquez de ne jamais rien accomplir. C’est là que la capacité à rester calme et empathique devient précieuse.

Au lieu de dépenser votre énergie à contrôler chaque détail et craindre l’échec, vous gagnez en confiance en vous, créativité et joie.

Confiance en soi et en les autres pour un sentiment de sécurité

Le manque de confiance n’est rien d’autre qu’un manque de confiance — en vous, en les autres et en la vie elle-même. La peur de l’échec vous pousse à vous prouver à tout prix — souvent sans même vous en rendre compte.

Je ne me sens pas en sécurité”. Il s’agit de ne pas se sentir assez sûr pour être soi-même. Vous ne vous faites pas confiance et doutez de chaque émotion, choix ou décision. Vous ne faites pas confiance aux autres, et n’attendez que jugement et rejet. Et au final, vous ne faites pas confiance à la vie, pensant qu’il ne peut rien de bon vous arriver, et vous devez tout contrôler.

Comment se sentir en sécurité avec les autres — être ouvert, imparfait, humain? On ne peut le faire qu’en créant d’abord la sécurité intérieure. Permettre aux émotions d’exister sans honte, se pardonner ses erreurs et accepter l’incertitude.

Se faire confiance signifie alors savoir que vous POUVEZ gérer tout ce qui arrive, si vous ou quelqu’un d’autre fait une erreur. Vous cessez de juger, et le monde autour de vous devient moins menaçant, plus vivant et plus bienveillant.

C’est cette conviction qui vous manque — que, quoi qu’il arrive, ça va aller.

3. Les mécanismes mentaux qui entretiennent le doute de soi

Même lorsque la vie s’améliore ou que les réussites s’accumulent, le sentiment de “pas assez” peut persister. C’est parce que le cerveau a construit des boucles internes qui renforcent le doute.

Rumination et biais de négativité

Il existe une grande différence entre le dialogue intérieur positif et le doute de soi:

+ + + Dialogue intérieur positif: Je peux gérer ça; je l’ai déjà fait.

+ + Monologue introspectif: Pourquoi ai-je ressenti ça dans cette situation?

+ Auto-critique constructive: J’aurais pu mieux m’exprimer, je réessaierai la prochaine fois.

+ – Commentaire neutre: Je remarque que je me sens nerveux.

– Pensées inquiètes: Et si ça ne se passait pas comme prévu?
– – Rumination:
Pourquoi ai-je fait cette erreur? Je n’arrête pas d’y penser.

– – – Doute de soi: Et si je n’étais pas assez bien pour ça?

Ce n’est pas seulement une question d’intensité ou de signe de l’émotion — positif vs négatif — mais de son effet: l’illusion de résoudre le problème ou d’analyser au mieux la situation renforce en réalité l’anxiété.

Saviez-vous que le cerveau se souvient plus facilement des expériences négatives que des positives?

Vous commencez à surestimer les risques et sous-estimer vos forces. C’est le fameux biais de négativité.

Pourquoi le cerveau s’accroche au négatif

Les recherches en neurosciences montrent que les émotions négatives comme la peur ou la honte activent l’amygdale — le détecteur de menace du cerveau — plus vite et plus intensément que les émotions positives. C’est pourquoi une critique peut effacer dix compliments.

 

Lorsque vous vivez avec le doute depuis des années, votre cerveau crée une sorte de “voie neuronale de l’insuffisance”. Elle devient la route par défaut de vos pensées, sauf si vous construisez consciemment de nouvelles connexions.

Comment les croyances façonnent les émotions

Nos émotions ne viennent pas directement de ce qui se passe, mais de la manière dont nous interprétons ce qui se passe. Derrière chaque réaction émotionnelle se cache une croyance qui donne sens à l’événement.

 

Quelques exemples:

Situation 1: Votre manager ne répond pas à votre email.

  • Ce qui se passe: silence, pas de réponse.
  • Votre pensée automatique: “J’ai dû dire quelque chose de mal.”
  • Émotion ressentie: anxiété, gêne, tension.
  • Croyance: “Si les gens ne répondent pas, c’est que j’ai mal fait.”

▶︎ Votre croyance profonde: “Je ne suis pas compétent.”

C’est cette croyance qui déclenche l’émotion. Ce n’est pas le silence en lui-même, mais ce que vous en faites qui compte.
Situation 2: Un ami annule un rendez-vous.
  • Ce qui se passe: “Désolé, je ne peux pas ce soir.”
  • Votre pensée automatique: “Il ne veut pas passer de temps avec moi.”
  • Émotion ressentie: tristesse, rejet, solitude.
  • Croyance: “Si quelqu’un annule, c’est que je ne suis pas important.”
▶︎ Votre croyance profonde: “Je ne vaux pas le temps des autres.”

Votre souffrance émotionnelle ne vient pas de l’annulation elle-même, mais de la vieille règle que votre esprit y applique.

Situation 3: Votre enfant ignore vos demandes et se met à pleurer.
  • Ce qui se passe: L’enfant ne vous écoute pas, puis éclate en sanglots
  • Votre pensée automatique: “Il fait ça pour me rendre fou.”
  • Émotion ressentie: colère, frustration, culpabilité.
  • Croyance: “Si je ne peux pas gérer la réaction de mon enfant, je suis un mauvais parent.”
▶︎ Votre croyance profonde: “Je ne suis pas assez bien.”

Ce que vous ressentez dépend moins de l’événement lui-même que de l’interprétation que vous lui donnez.


Lorsque les croyances sont rigides (“Je dois être parfait”, “Tout le monde doit m’aimer”, “Si j’échoue, je suis nul”), les émotions deviennent volatiles — car chaque événement ressemble à un jugement personnel.

 

En identifiant la croyance derrière l’émotion, vous commencez à séparer le fait de l’interprétation.


C’est le premier pas vers la régulation émotionnelle — pas pour changer le monde, mais pour changer ce que votre esprit vous raconte à son sujet.

4. Premiers pas vers la confiance — dépasser le sentiment de “pas assez”

Vous ne pouvez pas éliminer le doute du jour au lendemain. Pas en une journée, pas en sept jours. Si vous cherchez une pilule magique, voici ce que je vous dis:

Vous serez déçu à un moment ou un autre et vous vous sentirez à nouveau vaincu, sauf si…

…vous êtes vraiment prêt à changer et à vouloir mieux vous comprendre, ainsi que les schémas qui façonnent vos réactions et décisions.

Après avoir aidé différentes personnes avec leur manque de confiance et d’estime de soi, je peux vous rassurer: c’est possible, et vous pouvez le faire pas à pas.

Essayons ensemble quelques étapes simples:

Premiers pas vers la confiance

Vous souhaitez un guide clair et facile à suivre pour faire ces exercices?

Faites dès maintenant un premier petit pas

Étape 1: Êtes-vous vraiment prête au changement?

C’est normal d’avoir des peurs, des hésitations, de l’incertitude. Le changement ne demande pas encore de force — il commence simplement par votre volonté.

Laissez-moi vous poser cette question: “Est-ce que vous voulez vraiment vous sentir différente dans votre vie, même si cela peut être inconfortable au début?

Si la réponse est oui, voici votre première tâche:

Tâche 1: Prenez 5 minutes pour réfléchir à vos expériences récentes, difficiles ou joyeuses:

  1. Quand avez-vous ressenti, pour la dernière fois, même un bref moment de confiance, ne serait-ce que 10 secondes? Écrivez ce qui vous a fait vous sentir confiante.
  2. Quelle partie de votre vie vous fait le plus souffrir en ce moment? Notez le domaine de votre vie que vous aimeriez voir s’alléger.
Maintenant, passons à l’étape 2.

Étape 2: Dans quels domaines vous sentez-vous “pas assez”?

Avez-vous remarqué que, dans certaines situations, vous réagissez très fortement, alors que d’autres vous laissent presque indifférent?

 

Le manque de confiance ne se manifeste pas partout de la même manière. Prenons le temps de repérer les déclencheurs ou les moments précis où la pensée “Je ne suis pas assez” apparaît.

 

Voici votre deuxième tâche:

Tâche 2: Repensez à la semaine passée et identifiez quelques moments où vous vous êtes senti “pas assez”. Pour chaque moment, notez ce qui suit:

  1. Qu’est-ce qui s’est passé exactement (mots, actions de votre part ou de quelqu’un d’autre)?
  2. Qu’avez-vous ressenti à ce moment-là?
  3. Quelle a été la première pensée qui vous est venue?
Cette étape vous aide à repérer des schémas, pas seulement des émotions vagues. Vous ne pouvez pas changer ce que vous ne voyez pas. Mais dès que vous commencez à voir les schémas, vous pouvez avancer.

Étape 3: Identifier vos déclencheurs internes de doute

Le doute n’arrive presque jamais par hasard. Il suit des schémas. Voici quelques déclencheurs courants:

  • La comparaison (voir les autres réussir).
  • L’évaluation (être jugé ou évalué).
  • L’incertitude (faire face à quelque chose de nouveau).
  • Le conflit (risque de rejet ou de désapprobation).

Chaque fois que vous vous sentez “pas assez”, posez-vous cette question:

De quoi ai-je peur, exactement?

 

La réponse révèle souvent la croyance qui se cache derrière — la peur de l’échec, du rejet ou de perdre le contrôle.

Tâche 3: Choisissez une situation récente où vous vous êtes senti “pas assez” et demandez-vous:
  • De quoi ai-je peur qu’il arrive? Notez la peur. Puis demandez-vous:
  • Cette croyance est-elle vraie à 100 %, ou est-ce simplement une pensée? 
C’est ainsi que l’on commence à séparer la peur de la réalité — et c’est ainsi que la confiance grandit.

Étape 4: Ancrer votre estime de soi dans vos valeurs

La confiance basée uniquement sur les réussites est fragile.

Mais lorsque votre confiance s’appuie sur qui vous êtes et sur la façon dont vous vivez vos valeurs, elle devient plus stable, plus durable — même quand la vie vous met sous pression.

Votre dernier exercice du jour est simple:

Tâche 4: Quelles sont les qualités que vous respectez chez vous, quoi qu’il arrive?
  • Prenez 10 minutes pour noter 3 à 5 qualités personnelles que vous appréciez chez vous (par exemple: courage, curiosité, intégrité).
  • À côté de chaque qualité, écrivez un moment récent où vous l’avez exprimée.

Je veux que vous vous rappeliez ceci: vos réussites comptent, bien sûr — mais elles ne définissent pas qui vous êtes.

Vous êtes en train d’opérer un changement important: vous commencez à vous valoriser non plus pour ce que vous faites, mais pour qui vous êtes.

5. Quand le manque de confiance devient un mode de vie

Parfois, le “pas assez” n’est plus seulement un sentiment. C’est votre façon de voir le monde.

C’est ainsi que vous vous définissez:

  • Vous minimisez les compliments ou réussites (“Ce n’était rien, n’importe qui aurait pu le faire”).
  • Vous vous sentez mal à l’aise lorsque tout va bien, comme si quelque chose allait forcément mal tourner.
  • Vous cherchez constamment des assurances mais y croyez rarement.
  • Vous avez du mal à prendre des décisions sans approbation extérieure.
    Vous vous décrivez avec humour autodérisoire pour éviter la vulnérabilité.

Ce que vous devez savoir:

  • Vous n’avez pas besoin d’être confiant pour commencer.
  • Vous n’avez pas besoin d’être prêt.
  • Vous n’avez même pas besoin de croire en vous encore.

! Il vous suffit d’un tout petit moment de courage — 10 secondes, pas plus. Si vous sentez un petit désir de changement, même 1 %… utilisons-le.

Avant de réserver quoi que ce soit, téléchargez simplement les exercices. Pas besoin de vous engager — vous commencez juste avec curiosité.

Si, après les avoir faits, vous ressentez ne serait-ce qu’un léger soulagement ou une clarification, vous pouvez alors passer à l’étape suivante.

Et le jour où vous serez prêt — même si “prêt” ne signifie que 5 % — vous pourrez réserver une séance.

Que se passe-t-il lors de notre rendez-vous (pour que votre cerveau arrête d’imaginer le pire)?

  • Vous n’avez rien à prouver à qui que ce soit.
  • Vous n’avez pas besoin de vous expliquer parfaitement.
  • Vous ne serez jamais jugé.
  • Ce n’est pas un test.

C’est simplement une conversation pour comprendre ce qui pèse pour vous et ce que vous souhaitez ressentir à la place. La séance n’est pas destinée aux personnes déjà confiantes. Elle est pour ceux qui veulent cesser de se sentir seuls avec ce sentiment.

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